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Le résumé des attentats du 7 au 9 janvier 2015
La journée du 11 janvier 2015
Les attentats du 13 novembre 2015
Lanvier


La journée du 11 janvier 2015 



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Grand Corps Malade
a écrit une chanson

en hommage aux victimes
de l'attentat de Charlie Hebdo.

 
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Jean-Baptiste Bullet
a écrit une chanson
en hommage aux victimes
de l'attentat de Charlie Hebdo,

(sur l'air de l'Hexagone de Renaud)

 


Luz et Patrick Pelloux

François Hollande et Patrick Pelloux

Accolade
  
__ Les "unes" des journaux du monde entier __



 


         Résumé des attentats du 7 au 9 janvier 2018

Le siège de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo est attaqué dans la matinée du 7 janvier 2015 par deux hommes lourdement armés, à Paris dans le 11e arrondissement.

Douze personnes sont tuées par balles, dont deux policiers et les quatre dessinateurs de presse Cabu, Tignous, Wolinski et Charb.
Les deux terroristes, les frères Saïd et Chérif Kouachi, sont abattus deux jours plus tard lors d'une intervention des forces de l'ordre à Dammartin-en-Goële.
Cette tuerie à Charlie Hebdo était en fait la première attaque des attentats de Paris en janvier 2015, qui ont coûté la vie à 17 victimes au total sur plusieurs sites dans Paris et sa région.

Trois coupables, dix-sept victimes, et un prénom, « Charlie », devenu le slogan d’un pays tout entier.
Du 7 janvier, date du terrible attentat perpétré par les frères Kouachi à Charlie Hebdo, au 14 janvier, date de revendication de l’attaque par Al-Qaïda, alors même que des millions d’exemplaires du numéro des « survivants » inondaient les kiosques, la France a connu l’une des semaines les plus bouleversantes de son histoire récente.

L’horreur d’abord, avec cette attaque sans précédent dans les locaux parisiens de Charlie Hebdo, mercredi 7 janvier, en pleine conférence de rédaction : 12 personnes tombent en quelques minutes sous les balles de Chérif et Saïd Kouachi, deux anciens délinquants devenus soldats d’Al-Qaïda au Yémen.

L’horreur aussi, le lendemain, jour de deuil national, lorsqu’une policière de 26 ans intervenant sur un accident à Montrouge (Hauts-de-Seine) est abattue à bout-portant par Amedy Coulibaly, un proche des Kouachi, brandissant lui l’étendard de l’Etat Islamique.
L’horreur enfin, le vendredi 9, lorsque la traque des trois hommes dégénère en double prise d’otages : l’une à Dammartin-en-Goële (Seine-et-Marne) où les frères Kouachi se sont retranchés dans une imprimerie, l’autre dans un supermarché casher de l’Est parisien où Amedy Coulibaly s’est enfermé après avoir fait quatre nouvelles victimes.

Le cauchemar prend fin ce 9 janvier à 17 heures, dans un double assaut mené simultanément par les gendarmes d’élite du GIGN à Dammartin, et des policiers d’élite du Raid et de la BRI à Paris. Les trois terroristes sont abattus.
La France, qui retenait son souffle, respire un peu.
Mais l’onde de choc est planétaire.

Durant le week-end suivant, près de 4 millions de Français, réunis derrière le slogan «Je suis Charlie», né sur les réseaux sociaux, descendent dans les rues pour rendre hommage aux victimes et réaffirmer haut et fort le droit de s’exprimer librement. Paris se mue même le dimanche en capitale mondiale de l’antiterrorisme, lorsque 47 chefs d’Etat rejoignent quelques minutes la foule monstre qui défile de République à Nation. Du jamais vu. Prolongeant le sursaut républicain d’un peuple qui enchaîne la Marseillaise et acclame ses forces de l’ordre, la représentation nationale affiche dans les jours qui suivent un visage uni, les députés entonnant même la Marseillaise à l’unisson dans l’hémicycle de l’Assemblée, une première depuis 1918.






Les attentats du 13 novembre 2015 à Paris 

 

         


__ Quelques images des hommages du reste du monde __


  





















  


__ Les attentats du 13 novembre 2015 en France __
Texte issu de Wikipédia

Les attentats du 13 novembre 2015 en France, revendiqués par l'organisation terroriste État islamique, sont une série de fusillades et d'attaques-suicides meurtrières perpétrées dans la soirée en à Paris par trois commandos distincts. Tout d'abord à Saint-Denis, aux abords du stade de France, où se joue le match amical de football France Allemagne  auquel assiste François Hollande et où trois terroristes se font exploser (ce sont les tout premiers attentats-suicide en France) ; puis à Paris, dans plusieurs rues des 10e et 11e arrondissements, où trois individus mitraillent des terrasses de cafés et de restaurants. Deux d'entre eux prennent la fuite, le troisième se fait exploser ; enfin dans la salle de spectacle du Bataclan (également dans le 11e arrondissement), où 1 500 personnes assistent au concert du groupe de rock américain Eagles of Death Metal. Cette dernière attaque, perpétrée par trois autres terroristes qui ouvrent le feu sur le public, qui se termine par une prise d'otages et la mort de ces trois terroristes, est la plus longue et la plus meurtrière.

Un communiqué de Daesh que l'enquête policière laissent supposer qu'un quatrième attentat aurait pu être perpétré dans le 18e arrondissement. L'enquête atteste en revanche qu'un attentat-suicide était programmé cinq jours plus tard dans le quartier de La Défense.

Au , le bilan total des victimes fait état de 130 morts et de 352 blessés. De par le nombre total de victimes, ces attentats sont les plus meurtriers perpétrés en France depuis la Seconde Guerre mondiale et les seconds en Europe après les 191 morts des attentats de Madrid du 11 mars 2004.

Abdelhamid Abaaoud, qui selon les autorités françaises a joué un « rôle déterminant » dans l'organisation de ces attentats et qui projetait de commettre peu après un attentat-suicide à La Défense, est tué le , lors d'un assaut donné par les forces de police à Saint-Denis, en même temps que deux complices.